Nous voici de retour aux States après une longue absence contrainte par de nombreux problèmes techniques définitivement résolus.
Les dernières nouvelles nous avaient laissé dans un camping de barbares américains un peu rustres, à quelques kilomètres de la vallée de la mort, Bishop.
Après une douce nuit, bercés par les accords mélodieux des fonds de gorges locaux, nous nous préparons à affronter les terres inhospitalières de la bien nommée Death Valley.
On avait beau le savoir qu'il y faisait chaud, on n'imaginait pas à ce point là. Le temps de faire quelques pas pour prendre une photo, on dégouline. Les paysages sont gigantesques, désertiques et arides. Les glissements de roches sédimentaires et volcaniques nous offrent une variation d'ocres, beiges, marrons, et même des touches de rouges et de bleues qui portent le nom de palette d'artiste.
On se situe à 86m au dessous du niveau de la mer et il fait 46°. Le lac qui existait est asséché et ne nous offre qu'une vaste étendue blanche de sel. Difficile à supporter pour notre breton!
On n'a pas hésité longtemps pour fuir le camping situé en plein cagnard au milieu de la vallée, où se dressait tout de même une malheureuse tente!!!
Les dernières nouvelles nous avaient laissé dans un camping de barbares américains un peu rustres, à quelques kilomètres de la vallée de la mort, Bishop.
Après une douce nuit, bercés par les accords mélodieux des fonds de gorges locaux, nous nous préparons à affronter les terres inhospitalières de la bien nommée Death Valley.
On avait beau le savoir qu'il y faisait chaud, on n'imaginait pas à ce point là. Le temps de faire quelques pas pour prendre une photo, on dégouline. Les paysages sont gigantesques, désertiques et arides. Les glissements de roches sédimentaires et volcaniques nous offrent une variation d'ocres, beiges, marrons, et même des touches de rouges et de bleues qui portent le nom de palette d'artiste.
On se situe à 86m au dessous du niveau de la mer et il fait 46°. Le lac qui existait est asséché et ne nous offre qu'une vaste étendue blanche de sel. Difficile à supporter pour notre breton!
On n'a pas hésité longtemps pour fuir le camping situé en plein cagnard au milieu de la vallée, où se dressait tout de même une malheureuse tente!!!
On ne traine pas pour rejoindre Las Vegas, ville de toutes les folies, qui nous apparait subitement en plein désert.
Pas de chance, le week end, le prix des hôtels est exorbitant. On arrive à trouver le seul camping de la ville sans doute, qui acceuille notre tente sur un bout de trottoir, au milieu des camping car et de la multitude de casinos. 62$ tout de même!!! On s'estime heureux, il y a une piscine et tout le confort à quelques mètres du fameux Strip!
Enfilades d'hôtels grandioses, de boutiques de luxe, et surtout de casinos. A Las Vegas, on vient dépenser son argent.
Les plus grands monuments sont représentés mais Paris est la plus belle avec une mini Tour eiffel et même un petit bout des Champs élysées. Un spectacle d'eau au Belagio, une attaque de bateau au Treasure Island et un quarter perdu en 2 secondes au Circus circus plus tard, nos impressions sont mitigées : c'est bien sûr une ville incroyable mais qui laisse une sensation de toc et de carton pâte!
Étrangement, notre nuit entre parking et building est plutôt bonne et sans interruption. On doit s'habituer au confort limité de nos tapis de sol. Ou bien ce sont les bruits de la ville qui nous manquaient!
C'est le jour de la lessive et pendant que Christophe pique une tête, j'étudie le programme de la journée et discute précautions de lavage avec mon voisin de machine. (en anglais bien sur!)
Nous repartons rafraichis, avec du linge propre. La seule solution qu'on a trouvé pour faire sécher mes culottes, c'est de les étaler sur la plage arrière de la voiture!!!
En quittant la ville, on passe au circuit de nascars. Ce sont des courses de voitures que l'on voit dans le film "jour de tonnerre" avec Tom Cruise. Pas de voitures, pas de courses, et encore moins de Tom!!!
à bientôt.
Pas de chance, le week end, le prix des hôtels est exorbitant. On arrive à trouver le seul camping de la ville sans doute, qui acceuille notre tente sur un bout de trottoir, au milieu des camping car et de la multitude de casinos. 62$ tout de même!!! On s'estime heureux, il y a une piscine et tout le confort à quelques mètres du fameux Strip!
Enfilades d'hôtels grandioses, de boutiques de luxe, et surtout de casinos. A Las Vegas, on vient dépenser son argent.
Les plus grands monuments sont représentés mais Paris est la plus belle avec une mini Tour eiffel et même un petit bout des Champs élysées. Un spectacle d'eau au Belagio, une attaque de bateau au Treasure Island et un quarter perdu en 2 secondes au Circus circus plus tard, nos impressions sont mitigées : c'est bien sûr une ville incroyable mais qui laisse une sensation de toc et de carton pâte!
Étrangement, notre nuit entre parking et building est plutôt bonne et sans interruption. On doit s'habituer au confort limité de nos tapis de sol. Ou bien ce sont les bruits de la ville qui nous manquaient!
C'est le jour de la lessive et pendant que Christophe pique une tête, j'étudie le programme de la journée et discute précautions de lavage avec mon voisin de machine. (en anglais bien sur!)
Nous repartons rafraichis, avec du linge propre. La seule solution qu'on a trouvé pour faire sécher mes culottes, c'est de les étaler sur la plage arrière de la voiture!!!
En quittant la ville, on passe au circuit de nascars. Ce sont des courses de voitures que l'on voit dans le film "jour de tonnerre" avec Tom Cruise. Pas de voitures, pas de courses, et encore moins de Tom!!!
à bientôt.
2 commentaires:
Superbes images !!!
Et la musique est très bien choisie ;-)
ah mais voici un autre Tom ci-dessus ;-)
Bon, délirant cette ville de luxe, d'argent et ... d'eau en plein désert !!! Du coup, ils assèchent les réserves alentours, mais bon...
Sacré Ricains !!
Enregistrer un commentaire